Un actif immobilier qui boome: les terres agricoles

Un actif immobilier qui boome: les terres agricoles

Actu 3 min Immoday

Les investissements alternatifs dans l'immobilier ne se limitent pas aux infrastructures ou aux zones industrielles. Pour les grands Asset Managers, les terres agricoles sont devenues des opportunités d'investissement intéressantes. Et aujourd'hui particulièrement en Espagne, selon CBRE.

Pour les grands Asset Managers, les terres agricoles sont aujourd'hui considérées comme un actif immobilier comme un autre. Qui permet une bonne diversification du portefeuille, sans grand risque (après tout, quelle que soit la situation économique, les gens auront toujours besoin de se nourrir) par rapport au rendement attendu. Globalement, selon un rapport que vient de publier CBRE, les montants investis par les Asset Managers dans les terres agricoles ces 15 dernières années, ont été multipliés par 15. Et le nombre de fonds qui s'intéressent à ce type d'actif a décuplé.

Des rentabilités de plus de 10 % et des cash flow pérennes

Alors, quand ces acteurs considèrent que les prix sont sous-évalués, ils achètent. En masse. Comme c'est le cas aujourd'hui en Espagne. Où les acquisitions sont d'autant plus faciles que seuls les gros Asset Managers ont les reins assez solides pour financer des fermes beaucoup plus grandes, et investir dans la technologie pour doper leur rentabilité. Avec, au final, selon CBRE, d'importantes économies d'échelle, des rendements à long terme qui peuvent dépasser les 10 %, et des cash flow pérennes. Sans oublier que ces terres agricoles offrent une bonne protection contre l'inflation, une très faible corrélation avec la plupart des autres types d'actifs, et une résilience importante lors des crises économiques. 

Une bonne protection contre l'inflation et une résilience importante

Comme l'explique CBRE, au vu de la demande actuelle, les prix peuvent rapidement devenir très élevés, ce qui finit de convaincre les propriétaires de céder leurs parts aux gros investisseurs. La région, la qualité du sol, l'approvisionnement en eau et surtout le type de culture déterminent la valeur, avec, en tête, les serres, qui se vendent à 150'000 francs l'hectare. Suivies par les légumes de plein air, environ 70'000 francs l'hectare. À l'autre bout du spectre, les vergers d'arbres fruitiers, qui ne valent que 35'000 francs l'hectare. 

Conséquences de cet intérêt des Assets Manager, en Espagne, ces derniers mois, des milliers d'hectares ont changé de main, pour des centaines de millions de francs.

Rédaction - Immoday.ch

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